| Titre : | Pacifiers and Exclusive Breastfeeding: Does Risk for Postpartum Depression Modify the Association? (2017) |
| Auteurs : | Heather L. Sipsma, Auteur ; Katelin Kornfeind, Auteur ; Laura R. Kair, Auteur |
| Type de document : | Article : texte imprimé |
| Dans : | Journal of Human Lactation (Vol. 33, n°4, Novembre 2017) |
| Article en page(s) : | pp. 692–700 |
| Note générale : | Association entre tétine et allaitement maternel exclusif : le risque de dépression post-partum modifie-t-il cette association ? [titre traduit] |
| Langues: | Anglais |
| Catégories : | Allaitement exclusif ; Arrêt précoce ; Dépression et détresse psychologique ; Post-partum ; Tétine |
| Résumé : |
Background:
Postpartum depression is associated with lower rates of breastfeeding. Evidence describing the effect of pacifiers on breastfeeding is inconsistent, and previous research suggests that pacifiers may help vulnerable mothers breastfeed. Research aim: This study aimed to determine (a) how receiving a pacifier in the hospital affects exclusive breastfeeding (EBF) at 1 week and 3 months postpartum and (b) whether this association is modified by risk for postpartum depression (PPD). Methods: Data were derived from Listening to Mothers III. We included participants (n = 1,349) who intended to breastfeed and delivered at term. Mothers were considered at high risk for PPD if they reported feeling the need to receive treatment for depression during pregnancy. We used weighted multivariable logistic regression models to adjust for covariates. Results: Receiving a pacifier in the hospital was not significantly associated with EBF at 1 week (odds ratio [OR] = 0.84, 95% confidence interval [CI] [0.62, 1.12]) but was significantly associated with lower odds of EBF at 3 months postpartum (OR = 0.72, 95% CI [0.54, 0.95]). Risk for PPD modified this association. Among mothers at high risk for PPD, receiving a pacifier was significantly associated with increased odds of EBF (OR = 3.31, 95% CI [1.23, 8.97] at 1 week and OR = 5.27, 95% CI [1.97, 14.12] at 3 months); however, among mothers who were at lower risk for PPD, receiving a pacifier was associated with decreased odds of EBF (OR = 0.75, 95% CI [0.56, 1.02] at 1 week and OR = 0.62, 95% CI [0.46, 0.82] at 3 months). Conclusion: Pacifiers may help protect against early cessation of EBF among mothers at high risk for depression. Additional research is needed to better understand this association. [résumé de l'auteur] |
| Note de contenu : |
Introduction : la dépression post-partum est associée à des taux d’allaitement maternel plus faibles. Les données décrivant l’effet de la tétine sur l’allaitement maternel sont incohérentes, et des recherches antérieures suggèrent que la tétine peut aider les mères vulnérables à allaiter.
Objectif de l’étude : déterminer (a) la façon dont le recours à la tétine à l’hôpital affecte l’allaitement maternel exclusif (AME) à une semaine et trois mois post-partum et (b) si cette association est modifiée par le risque de dépression post-partum (DPP). Méthodes : les données ont été extraites de l’étude Listening to Mothers III. Nous avons inclus les participantes (n = 1 349) qui avaient l’intention d’allaiter et qui ont accouché à terme. Les mères étaient considérées comme à risque élevé de DPP si elles avaient déclaré ressentir le besoin d’être traitées dans le cadre de la dépression pendant la grossesse. Nous avons utilisé des modèles de régression logistique multivariée pondérés pour l’ajustement des covariables. Résultats : le recours à la tétine à l’hôpital n’a pas été significativement associé à l’AME à une semaine (odds ratio [OR] = 0,84, intervalle de confiance [IC] à 95 % [0,62, 1,12]), mais a été significativement associé à des probabilités plus faibles d’AME à trois mois post-partum (OR = 0,72, IC à 95 % [0,54, 0,95]). Le risque de DPP a modifié cette association. Parmi les mères présentant un risque élevé de DPP, le recours à la tétine était significativement associé à une probabilité accrue d’AME (OR = 3,31, IC à 95 % [1,23, 8,97] à une semaine et OR = 5,27, IC à 95 % [1,97, 14,12] à trois mois). Cependant, parmi les mères présentant un risque plus faible de DPP, le recours à la tétine a été associé à une probabilité d’AME moindre (OR = 0,75, CI à 95 % [0,56, 1,02] à une semaine et OR = 0,62, IC à 95 % [0,46, 0,82] à trois mois). Conclusions : la tétine peut prévenir l’arrêt précoce de l’AME chez les mères présentant un risque élevé de dépression. Des travaux de recherche supplémentaires sont nécessaires afin de mieux comprendre cette association. [traduction] |
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