| Titre : | Barriers to Breastfeeding in a Resident Clinic (2013) |
| Auteurs : | Amy M. Johnson, Auteur ; Alissa Correll, Auteur ; John F. Greene, Auteur |
| Type de document : | Article : texte imprimé |
| Dans : | Breastfeeding Medicine (Vol. 8, n°3., Juin 2013) |
| Article en page(s) : | pp. 273–276 |
| Note générale : | Obstacles à l'allaitement au sein d'une clinique [titre traduit] |
| Langues: | Anglais |
| Catégories : | Clinique ; Etats-Unis ; Frein à l'allaitement ; Hispano-américain ; Intention d'allaiter ; Lait artificiel pour nourrisson ; Multipare ; Père ; Place père/second parent ; Programme WIC ; Soutien allaitement ; Soutien aux mères ; Taux d'allaitement |
| Résumé : |
Despite the known health benefits for mother and infant, compliance with exclusive breastfeeding continues to challenge many healthcare providers. In an ongoing attempt to maintain the goals of the Healthy People 2010 initiative, our institution set out to identify patients with suboptimal breastfeeding rates in order to recognize potential barriers. Review of breastfeeding rates at the time of discharge noted significantly lower participation by clinic patients. In order to develop successful interventions, the aim of this study was to survey clinic patients to determine their intentions, attitudes, and obstacles to the practice of exclusive breastfeeding. In total, 188 surveys were completed during a 2-month time period. Respondents were primarily Hispanic (76.4% vs. 9.6% black and 8.4% white) and multiparous (57.5%) with a mean age of 25.7 years (range, 15–39 years old). Although 95.3% of respondents indicated that they believed breastmilk provided adequate nutrition, only 35.3% planned on exclusively breastfeeding. Access to free formula through the Special Supplemental Nutrition Program for Women, Infants and Children was the most common reason not to breastfeed (48.3%), followed by fear of pain and the need to return to work/school. Patients reported that the person with the greatest influence on their decision to breastfeed was their partner/spouse. Access to a lactation counselor was the most popular intervention requested, even among experienced multiparous patients (78.9% of whom had previously breastfed). In conclusion, the survey indicated that planned exclusive breastfeeding rates are low among this inner-city resident clinic and interventions should include involvement of the partners/spouses and access to lactational support. [résumé de l'auteur]
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| Note de contenu : |
Malgré les avantages connus pour la santé de la mère et du nourrisson, le respect des recommandations en matière d’allaitement maternel exclusif reste un défi pour de nombreux professionnels de santé. Afin d’atteindre les objectifs Healthy People 2010, notre établissement a entrepris d’identifier les patientes présentant des taux d’allaitement maternel sous-optimaux afin d’identifier les obstacles potentiels. L’examen des taux d’allaitement au moment de la sortie de l’hôpital a noté une participation significativement plus faible des patientes de la clinique. Afin de développer des interventions réussies, l’objectif de cette étude était d’interroger les patientes des cliniques afin de déterminer leurs intentions, leurs attitudes et les obstacles à la pratique de l’allaitement maternel exclusif. Au total, 188 enquêtes ont été complétées sur une période de deux mois. Les répondantes étaient principalement hispaniques (76,4 % contre 9,6 % de Noires et 8,4 % de Blanches) et multipares (57,5 %), avec un âge moyen de 25,7 ans (de 15 à 39 ans). Bien que 95,3 % des répondantes aient indiqué penser que le lait maternel représentait la nutrition adéquate, seulement 35,3 % prévoyaient d’allaiter exclusivement. L’accès à des préparations commerciales pour nourrisson (PCN) gratuites dans le cadre du programme WIC constituait la raison la plus courante de ne pas allaiter (48,3 %), suivie de la peur de la douleur et de la nécessité de retourner au travail ou à l’école. Les patientes ont indiqué que la personne ayant le plus d’influence sur leur décision d’allaiter était leur partenaire/conjoint. L’accès à un consultant en lactation constituait l’intervention la plus demandée, même parmi les patientes multipares expérimentées (dont 78,9 % avaient déjà allaité). En conclusion, l’enquête a indiqué que les taux d’allaitement maternel exclusif planifié étaient faibles au sein de cette clinique d’un quartier défavorisé, et que les interventions devraient inclure la participation des partenaires/conjoints ainsi que l’accès à un soutien à la lactation. [traduction]
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