Titre : | Breastfeeding Initiation in the Context of a Home Intervention to Promote Better Birth Outcomes (2013) |
Auteurs : | Sharon M. Karp, Auteur ; Abigail Howe-Heyman, Auteur ; Mary S. Dietrich, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Breastfeeding Medicine (Vol. 8, n°4, Aout 2013) |
Article en page(s) : | pp. 381387 |
Note générale : | Initiation de l'allaitement dans le cadre d'une intervention de promotion des résultats à la naissance à domicile [titre traduit] |
Langues: | Anglais |
Catégories : | Accouchement prématuré ; Antécédents ; Démarrage de l'allaitement ; Infirmière ; Intention d'allaiter ; Multipare ; Prématurité (avant 37 semaines) ; Prématurité tardive (entre 34 et 36 semaines) ; Retour à domicile ; Taux d'allaitement ; Visite à domicile ; Visites à domicile |
Résumé : |
Objective: This secondary analysis examined breastfeeding initiation rates and factors related to initiation in a sample of multiparous women with a history of a prior preterm birth.
Subjects and Methods: Data for a subsample of women (n=130) were derived from a randomized clinical trial testing a home visit intervention to improve birth outcomes. The subsample included women who gave birth to an infant greater than 35 weeks of gestation. All participants received standard prenatal care. Intervention participants (n=73) also received home visits by certified nurse-midwives. Visits were guided by protocols to improve factors associated with poor birth outcomes and maternal and infant health. Descriptive and logistic regression analyses were used, controlling for factors previously associated with breastfeeding. Results: Although 85% of women reported an intention to breastfeed, only 65% reported initiating breastfeeding at 48 hours postpartum. After controlling for race, income, marital status, smoking, and age, higher maternal education and lower pregravid body mass index were associated with higher rates of initiation (odds ratio [OR]=1.30, p=0.010 and OR=0.94, p=0.007, respectively). Lower levels of depressive symptoms (OR=0.95, p=0.039) and higher levels of prenatal stress (OR=1.11, p=0.042) increased the likelihood of initiating breastfeeding. No difference between groups emerged, although women in the intervention group with more home visit time were more likely to report breastfeeding (p=0.007). Conclusions: Modifiable risk factors were associated with rates of breastfeeding initiation. It may be possible to use protocols delivered via nurse-midwife home visits within a global intervention to increase breastfeeding initiation. [résumé de l'auteur] |
Note de contenu : |
Objectif de létude : cette analyse secondaire a étudié les taux dinitiation de lallaitement et les facteurs liés à son initiation dans un échantillon de femmes multipares ayant des antécédents daccouchement prématuré.
Méthodes : les données dun sous-échantillon de femmes (n = 130) ont été dérivées dun essai clinique randomisé testant une intervention de visite à domicile afin daméliorer les résultats à la naissance. Le sous-échantillon comprenait des femmes ayant accouché dun nourrisson à plus de 35 semaines de gestation. Toutes les participantes ont reçu des soins prénataux standards. Les participantes à lintervention (n = 73) ont également reçu des visites à domicile dinfirmières-sages-femmes certifiées. Les visites ont été conduites selon des protocoles visant à améliorer les facteurs associés aux mauvais résultats à la naissance et à la santé maternelle et infantile. Des analyses de régression descriptives et logistiques ont été utilisées, avec ajustement pour les facteurs précédemment associés à lallaitement. Résultats : quatre-vingt-cinq pour cent des femmes ont déclaré avoir lintention dallaiter, mais seulement 65 % ont déclaré avoir initié lallaitement à 48 heures post-partum. Après ajustement pour lorigine ethnique, le revenu, létat matrimonial, le tabagisme, lâge, un niveau déducation maternelle plus élevé et un indice de masse corporelle prégravide plus faible ont été associés à des taux dinitiation plus élevés (odds ratio [OR] = 1,30, p = 0,010 et OR = 0,94, p = 0,007, respectivement). Des niveaux plus faibles de symptômes dépressifs (OR = 0,95, p = 0,039) et des niveaux plus élevés de stress prénatal (OR = 1,11, p = 0,042) ont augmenté les probabilités dinitiation de lallaitement. Aucune différence nest apparue entre les groupes, bien que les femmes du groupe dintervention bénéficiant de visites à domicile plus longues aient été plus susceptibles de déclarer allaiter (p = 0,007). Conclusions : des facteurs de risque modifiables étaient associés aux taux dinitiation de lallaitement. Lutilisation de protocoles, délivrés via des visites à domicile dinfirmières-sages-femmes dans le cadre dune intervention globale, pourrait augmenter les taux dinitiation de lallaitement. [traduction] |