Titre : | A Qualitative Study to Understand Cultural Factors Affecting a Mothers Decision to Breast or Formula Feed (2014) |
Auteurs : | Tara P. Fischer, Auteur ; Beth H. Olson, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Journal of Human Lactation (Vol. 30, n°2, Mai 2014) |
Article en page(s) : | pp. 209216 |
Note générale : | Une étude qualitative afin de comprendre les facteurs culturels exerçant une influence sur la décision d'une mère d'allaiter ou de recourir aux préparations commerciales pour nourrisson [titre traduit] |
Langues: | Anglais |
Catégories : | Afro-américain ; Culture ; Disparité raciale ; Etats-Unis ; Frein à l'allaitement ; Lait artificiel pour nourrisson ; Programme WIC ; Taux d'allaitement |
Résumé : |
Background:
The presence of barriers is not sufficient to explain breastfeeding rate disparities. A relatively unexplored area in coping with breastfeeding barriers is culture. Objective: This research aims to better understand the role of culture in a womans infant feeding decision by using race and socioeconomic status as indicators of culture. Methods: Focus groups and individual interviews were conducted with 42 pregnant women or mothers of infants younger than 12 months. Focus group composition was determined by self-identified African American or white race and self-reported eligibility for the Special Supplemental Nutrition Program for Women, Infants, and Children (WIC) or ineligibility (non-WIC). Results: Most participants acknowledged that breastfeeding was best, yet differences arose between groups in the perception of, and reaction to, breastfeeding barriers. WIC and non-WIC participants of both races indicated that some circumstances necessitated formula use. WIC participants felt that this was personally and socially acceptable due to need, whereas non-WIC participants felt that this was personally and socially unacceptable. When a barrier arose, WIC participants of both races felt that the infant feeding choice was not theirs and formula use might be inevitable. In contrast, non-WIC participants of both races expressed that they persevered to continue breastfeeding and did so by establishing small, achievable goals and seeking mentors. Conclusion: Educational and public health efforts to reduce breastfeeding disparities may be enhanced if support is tailored to acknowledge cultural differences among women and address factors that make either breastfeeding or formula feeding acceptable, or even preferable, within their communities. [résumé de l'auteur] |
Note de contenu : |
Introduction : les obstacles ne suffisent pas à expliquer les disparités relatives aux taux dallaitement. La culture constitue un domaine relativement peu exploré pour faire face aux obstacles à lallaitement maternel.
Objectif de létude : mieux comprendre le rôle de la culture dans la décision dalimentation du nourrisson chez une femme, en utilisant lethnie et le statut socio-économique comme indicateurs. Méthodes : des groupes de discussion et des entretiens individuels ont été menés auprès de 42 femmes enceintes ou de mères de nourrissons de moins de 12 mois. La composition des groupes de discussion a été déterminée par lautoidentification à lethnie afro-américaine ou blanche et par ladmissibilité autodéclarée (WIC) ou par linéligibilité (non-WIC) au programme WIC. Résultats : la plupart des participantes ont reconnu que lallaitement maternel représentait la meilleure solution, mais des différences sont apparues entre les groupes en termes de perception et de réaction aux obstacles à lallaitement. Les bénéficiaires du WIC et les non-WIC des deux ethnies ont indiqué que certaines circonstances nécessitaient le recours à des préparations commerciales pour nourrisson (PCN). Les bénéficiaires du WIC estimaient que cela était acceptable, sur les plans personnel et social, en raison des besoins, tandis que les non-WIC estimaient, sur les mêmes plans, que cela était inacceptable. Lorsquun obstacle est apparu, les bénéficiaires du WIC des deux ethnies ont estimé que le choix dalimentation du nourrisson nétait pas le leur et que le recours aux PCN serait inévitable. En revanche, les non-WIC des deux ethnies ont déclaré avoir persévéré afin de maintenir lallaitement et lont fait en établissant de petits objectifs réalisables et en recherchant des mentors. Conclusions : les efforts en matière déducation et de santé publique visant à réduire les disparités en matière dallaitement maternel peuvent être renforcés si le soutien est adapté afin de reconnaître les différences culturelles entre les femmes et de sattaquer aux facteurs qui rendent lallaitement maternel ou le recours aux PCN acceptable, voire préférable, au sein de leurs communautés respectives. [traduction] |