Titre : | Changing the Breastfeeding Conversation and Our Culture (2014) |
Auteurs : | Gail C. Christopher, Auteur ; Joanne K. Krell, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Breastfeeding Medicine (Vol. 9, n°2, Mars 2014) |
Article en page(s) : | pp. 5355 |
Note générale : | Changer les discussions autour de l'allaitement et notre culture [titre traduit] |
Langues: | Anglais |
Catégories : | Afro-américain ; Disparité raciale ; Etats-Unis ; Ethnie ; Hispano-américain ; Taux d'allaitement |
Mots-clés: | "mommy wars" ; Amérindien |
Résumé : |
We've seen the headlines in the media: The Mommy Wars, A Woman's Right to Choose (Not to Breastfeed), and The Case Against Breastfeeding, among others. These headlines are focused on the individual mother and the notion of choice, pitting mother against mother, and, in some cases, going so far as demonizing women for not breastfeeding their babies. What's missing in these headlines and stories is the context in which women breastfeed.
Many women start out wanting to breastfeed but face barriers in their communities, healthcare experiences, and workplaces. And, although U.S. breastfeeding initiation rates are on the rise, significant racial disparities persist. For example, African American women have the lowest breastfeeding rates in our country60% initiation compared with 75% initiation overall1yet African Americans disproportionately experience health issues that breastfeeding can help prevent. Native Americans also have lower breastfeeding rates than women overall, as well as higher incidences of health problems. For Hispanic women, the data show generational differences: Hispanic women who have become more acculturated in the United States tend to have lower breastfeeding rates. [extrait de l'article] |
Note de contenu : |
Nous avons tous vu les gros titres dans les médias : « The Mommy Wars » (guerres des mamans), « Le droit dune femme de choisir (de ne pas allaiter) » et « Les arguments contre lallaitement maternel », entre autres. Ces gros titres se concentrent sur la mère individuelle et la notion de choix, opposant mère contre mère et, dans certains cas, allant jusquà diaboliser les femmes nallaitant pas leur nourrisson. Ce qui manque à ces gros titres et à ces histoires, cest le contexte dans lequel les femmes allaitent.
De nombreuses femmes commencent par vouloir allaiter, mais sont confrontées à des obstacles dans leurs communautés, leurs expériences de soins de santé et leurs lieux de travail, et bien que les taux dinitiation de lallaitement maternel aux États-Unis soient en hausse, dimportantes disparités raciales persistent. Par exemple, les femmes afro-américaines présentent les taux dallaitement maternel les plus bas de notre pays 60 % dinitiation contre 75 % dans la population générale mais les Afro-Américaines sont confrontées, de manière disproportionnée, à des problèmes de santé que lallaitement maternel peut contribuer à prévenir. Les Amérindiennes présentent également des taux dallaitement maternel plus faibles que les femmes de la population générale, ainsi que des incidences plus élevées associées aux problèmes de santé. Pour les femmes hispaniques, les données montrent des différences générationnelles : les femmes hispaniques, devenues davantage acculturées aux États-Unis, ont tendance à présenter des taux dallaitement plus faibles. [traduction] |