Titre : | A Mixed-Methods Observational Study of Human Milk Sharing Communities on Facebook (2014) |
Auteurs : | Maryanne Tigchelaar Perrin, Auteur ; Suzanne L. Goodell, Auteur ; Jonathan C. Allen, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Breastfeeding Medicine (Vol. 9, n°3, Avril 2014) |
Article en page(s) : | pp. 128134 |
Note générale : | Une étude observationnelle à méthodes mixtes des communautés Facebook de partage de lait maternel [titre traduit] |
Langues: | Anglais |
Catégories : | Don de lait ; Internet ; Lactarium ; Lait maternel cru ; Site internet ; Soin intensif néonatal ; Soutien par les pairs |
Mots-clés: | partage de lait |
Résumé : |
Objectives: The Food and Drug Administration discourages the casual sharing of human milk because of the risk of pathogen transmission. No information is currently available on the prevalence of this practice. The purpose of this mixed-methods observational study is to describe the size and activity of online milk sharing communities.
Materials and Methods: Data for 3 months were extracted from nine public Facebook pages that facilitate the exchange of human milk. The numbers of participants, interactions, and comments were analyzed. Results: We observed 954 individuals participating in milk sharing. The number of interactions per individual ranged from none to 16 (mean, 1.74±1.65). Top reasons that participants requested milk included lactation problems (69.4%) and child health problems (48.5%). Nearly half of donors were offering 100 ounces or more, which is the minimum to be eligible to donate to nonprofit milk banks. Conclusions: Milk sharing networks in the United States are active, with thousands of individuals participating in the direct exchange of raw human milk. Public health issues include increasing the supply of pasteurized donor milk for fragile infants, increasing breastfeeding support, and helping milk sharing families appropriately manage risks. [résumé de l'auteur] |
Note de contenu : |
Objectifs de létude : la Food and Drug Administration nencourage pas le partage occasionnel de lait maternel en raison du risque de transmission dagents pathogènes. Aucune donnée nest actuellement disponible sur la prévalence de cette pratique. Le but de cette étude observationnelle à méthodes mixtes était de décrire la taille et lactivité des communautés de partage de lait en ligne.
Méthodes : les données sur une période de trois mois ont été extraites de neuf pages Facebook publiques, facilitant léchange de lait maternel. Le nombre de participantes, dinteractions et de commentaires a été analysé. Résultats : nous avons constaté une participation de 954 personnes. Le nombre dinteractions par individu variait de zéro à 16 (moyenne, 1,74±1,65). Les principales raisons pour lesquelles les participantes ont demandé du lait comprenaient des « problèmes liées à la lactation » (69,4 %) et des « problèmes de santé du nourrisson » (48,5 %). Près de la moitié des donneuses offraient 100 onces (2.95 L) de lait voire plus, soit le seuil minimum pour être admissible aux dons de lait à des lactariums à but non lucratif. Conclusions : les réseaux de partage de lait aux États-Unis sont actifs, avec des milliers de personnes participant à léchange direct de lait maternel cru. Les problèmes de santé publique comprennent laugmentation de lapprovisionnement en lait de donneuse pasteurisé pour les nourrissons vulnérables, laugmentation du soutien à lallaitement maternel et laide aux familles partageant du lait à gérer les risques de manière adéquate. [traduction] |