| Titre : | Determinants of the Introduction of Prelacteal Feeds in the Maldives (2014) |
| Auteurs : | Raheema Abdul Raheem, Auteur ; Colin W. Binns, Auteur ; Hui Jun Chih, Auteur |
| Type de document : | Article : texte imprimé |
| Dans : | Breastfeeding Medicine (Vol. 9, n°9, Novembre 2014) |
| Article en page(s) : | pp. 473–478 |
| Note générale : | Déterminants de l'introduction d'aliments pré-lactation aux Maldives [titre traduit] |
| Langues: | Anglais |
| Catégories : | Aliment ; Césarienne ; Culture ; Démarrage de l'allaitement ; Frein à l'allaitement ; Hôpital ; Lait artificiel pour nourrisson ; Religion ; Tradition |
| Mots-clés: | miel ; dattes ; Maldives |
| Résumé : |
Background and Objectives: This study identified the determinants of the introduction of prelacteal feeds in the Maldives.
Subjects and Methods: A cohort of 458 mothers was recruited from antenatal clinics at two major hospitals in Malé, the Maldives. The mothers were followed up after birth at 4 weeks, 3 months, and 6 months. The child's birth, the type of infant delivery, the time breastfeeding was initiated, gender of the infants, types of prelacteal feeds, and feeding method were recorded. Results: After birth, 4.1% of infants received infant formula from the hospitals, whereas 10.6% and 7.4% of them received honey and dates, respectively, as prelacteal ritual feeds. Factors associated with introduction of ritual feeds as prelacteal feeds included the infant being a boy (p=0.05; adjusted odds ratio [AOR]=1.78; 95% confidence interval [CI], 1.07–2.98), attitude toward prelacteal feeds (p=0.01; AOR=2.87; 95% CI, 1.48–5.58), and maternal employment (p=0.01; AOR=2.3; 95% CI, 1.4–3.9). Higher maternal age was inversely associated with introduction of ritual feeds as a prelacteal feed (p=0.05; AOR=0.5; 95% CI, 0.3–0.9). Introduction of infant formula as the prelacteal feed was positively associated with birth by cesarean section (p=0.01; AOR=4.6; 95% CI, 1.6–13.3) and inversely associated with maternal mother's feeding method being breastfeeding (p=0.05; AOR=0.15; 95% CI, 0.04–0.6). Prelacteal feeding was associated with cessation of breastfeeding before 6 months (p=0.01; AOR 6.0; 95% CI, 1.64–21.80). Conclusions: Health professionals need to distinguish between religious and cultural practices in order to develop appropriate health education programs to reduce the unnecessary use of early additional feeds. Understanding the barriers related to the initiation of breastfeeding after cesarean section is also important. [résumé de l'auteur] |
| Note de contenu : |
Introduction et objectifs de l’étude : identifier les déterminants de l’introduction d’aliments pré-lactation aux Maldives.
Méthodes : une cohorte de 458 mères a été recrutée dans des cliniques prénatales de deux grands hôpitaux de Malé, aux Maldives. Les mères ont été suivies après la naissance à quatre semaines, à trois mois et à six mois. La naissance de l’enfant, le type d’accouchement, le moment de l’initiation de l’allaitement, le sexe du nourrisson, les types d’aliments pré-lactation et la méthode d’alimentation ont été enregistrés. Résultats : après la naissance, 4,1 % des nourrissons ont reçu des préparations commerciales pour nourrisson (PCN) de la part des hôpitaux, tandis que 10,6 % et 7,4 % d’entre eux ont reçu du miel et des dattes, respectivement, comme aliments rituels pré-lactation. Les facteurs associés à l’introduction d’aliments rituels comme aliments pré-lactation comprenaient le sexe masculin du nourrisson (p = 0,05 ; odds ratio ajusté [ORa] = 1,78 ; intervalle de confiance [IC] à 95 %, 1,07-2,98), l’attitude envers les aliments pré-lactation (p = 0,01 ; ORa = 2,87 ; IC à 95 %, 1,48-5,58) et l’emploi de la mère (p = 0,01 ; ORa = 2,3 ; IC à 95 %, 1,4-3,9). Un âge maternel plus avancé était inversement associé à l’introduction d’aliments rituels comme aliment pré-lactation (p = 0,05 ; ORa = 0,5 ; IC à 95 %, 0,3-0,9). L’introduction de PCN comme aliment pré-lactation a été positivement associée à la naissance par césarienne (p = 0,01 ; ORa = 4,6 ; IC à 95 %, 1,6-13,3) et inversement associé à la méthode d’alimentation de la mère de la participante (p = 0,05 ; ORa = 0,15 ; IC à 95 %, 0,04-0,6). L’alimentation pré-lactation était associée à un arrêt de l’allaitement avant six mois (p = 0,01 ; ORa = 6.0 ; IC à 95 %, 1,64-21,80). Conclusions : les professionnels de santé doivent faire la distinction entre pratiques religieuses et culturelles afin d’élaborer des programmes d’éducation en matière de santé appropriés dans le but de réduire l’utilisation inutile d’aliments supplémentaires pré-lactation. Il est également important de comprendre les obstacles liés à l’initiation de l’allaitement maternel à l’issue d’une césarienne. [traduction] |
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