Titre : | Loss of Body Fat and Associated Decrease in Leptin in Early Lactation Are Related to Shorter Duration of Postpartum Anovulation in Healthy US Women (2015) |
Auteurs : | Mary Colleen Domer, Auteur ; Kathy A. Beerman, Auteur ; Amin Ahmadzadeh, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Journal of Human Lactation (Vol. 31, n°2, Mai 2015) |
Article en page(s) : | pp. 282293 |
Note générale : | Une perte de graisse corporelle et une diminution associée de la concentration de leptine au début de la lactation sont associées à une période d'anovulation post-partum plus courte chez des femmes américaines en bonne santé [titre traduit] |
Langues: | Anglais |
Catégories : | Hormone ; Hormone de lactation ; Insuline ; Ovule ; Période post-partum immédiate ; Poids corporel ; Poids de la mère ; Post-partum ; Prolactine ; Suivi postanal |
Mots-clés: | anovulation post-partum ; leptine |
Résumé : |
Background:
The mechanisms regulating postpartum anovulation (PPA) are not well understood, although poor nutritional status and intense breastfeeding behaviors are associated with longer durations. Objectives: This study was designed primarily to investigate the hypothesis that higher body fat and leptin concentrations are related to shorter PPA in healthy, lactating US women. Nutrient intake, breastfeeding behaviors, prolactin, and insulin levels were also evaluated. Methods: Fasting serum was collected during the third trimester of pregnancy, at 2 and 4 weeks postpartum, and every 4 weeks until the occurrence of the first postpartum menses. Body composition and breastfeeding behaviors were assessed at the same times postpartum. Women (n = 13) were categorized based on initial percentage body fat and timing of first postpartum menses. Results: There were no consistent relationships between body composition, leptin, or breastfeeding behaviors and duration of PPA. However, there was an interaction (P = .005) between ovulation group and time on adiposity; earlier ovulating women had less percentage body fat in early lactation than did later ovulating women. There was also an interaction (P = .1) between ovulation group and time postpartum on leptin, such that leptin concentrations tended to be greater in later than earlier ovulating groups beginning at 12 weeks postpartum. Conclusion: In summary, although baseline percentage body fat and leptin were not related to duration of PPA, fertility returned earlier in women who lost greater percentage body fat during the early postpartum period. [résumé de l'auteur] |
Note de contenu : |
Introduction : les mécanismes régulant lanovulation post-partum (APP) ne sont pas bien compris, bien quun mauvais état nutritionnel et des comportements dallaitement « intenses » soient associés à des durées plus longues.
Objectifs de létude : étudier lhypothèse selon laquelle des concentrations plus élevées de graisse corporelle et de leptine sont liées à une APP plus courte chez des femmes américaines allaitantes en bonne santé. Lapport en nutriments, les comportements dallaitement, ainsi que les niveaux de prolactine dinsuline ont également été évalués. Méthodes : le sérum à jeun a été recueilli au cours du troisième trimestre de grossesse, à deux et quatre semaines post-partum, et toutes les quatre semaines jusquau retour de couches. La composition corporelle et les comportements dallaitement ont été évalués aux mêmes moments au cours du post-partum. Les femmes (n = 13) ont été classées en fonction du pourcentage initial de graisse corporelle et du moment du retour de couches. Résultats : il nexistait pas de relations cohérentes entre composition corporelle, leptine ou comportements dallaitement et durée de lAPP. Cependant, il existait une interaction (P = 0,005) entre groupe ovulation et temps sur ladiposité : les femmes qui ovulaient plus tôt présentaient un pourcentage de graisse corporelle moins important au début de lallaitement que les femmes qui ovulaient plus tard. Il existait également une interaction (P = 0,1) entre groupe ovulation et temps post-partum sur la leptine, de sorte que les concentrations de leptine avaient tendance à être plus élevées dans les groupes ovulation tardive que les groupes ovulation précoce à partir de 12 semaines post-partum. Conclusions : en résumé, bien que le pourcentage de base de graisse corporelle et de leptine nait pas été lié à la durée de lAPP, les femmes ayant perdu un pourcentage de graisse corporelle plus élevé au début du post-partum sont redevenues fertiles plus tôt. [traduction] |