Titre : | Effect of Novel Breastfeeding Smartphone Applications on Breastfeeding Rates (2021) |
Auteurs : | Laurie B. Griffin, Auteur ; Julia D. López, Auteur ; Megan L. Ranney, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Breastfeeding Medicine (Vol. 16, n°8, Aout 2021) |
Article en page(s) : | pp. 614623 |
Note générale : | Effet de nouvelles applications pour smartphone sur les taux d'allaitement maternel [titre traduit] |
Langues: | Anglais |
Catégories : | Allaitement exclusif ; Application numérique ; Connaissance et enseignement sur l'allaitement ; Connaissances vis à vis de l'allaitement ; Démarrage de l'allaitement ; Education ; Education à la santé ; Essai contrôlé randomisé Etude ; Ethnie ; Niveau socio économique ; Pauvreté ; Taux d'allaitement ; Téléphone |
Résumé : |
Background: Low-income women are less likely to breastfeed than high-income women. Technology-based interventions demonstrate promise in decreasing health disparities. We assessed whether increased use of breastfeeding smartphone applications (apps) impacts breastfeeding rates for low-income women.
Materials and Methods: This is a secondary analysis of a randomized control trial (RCT), including nulliparous, low-income women. Women were randomized to one of two novel apps: control app containing digital breastfeeding handouts and BreastFeeding Friend (BFF), an interactive app containing on-demand breastfeeding educational and video content. App usage was securely tracked. The highest quartile of BFF and control app users were combined and compared to the lowest quartile of app users. The primary outcome was breastfeeding initiation. Secondary outcomes included breastfeeding outcomes and resource preferences through 6 months. Results: In the RCT, BFF and control app median uses were 15 (interquartile range [IQR] 424) and 9 (IQR 519) (p = 0.1), respectively. Breastfeeding initiation did not differ with app usage (84.1% in highest quartile versus 78.2% for lowest quartile; p = 0.5). Rates of sustained and exclusive breastfeeding through 6 months were similar between groups. Among both groups, smartphone apps were the most preferred breastfeeding resource at 6 weeks. Low quartile users also preferred alternative online breastfeeding resources: >50% of all users preferred technology-based breastfeeding resources. Conclusions: Increased usage of breastfeeding apps did not improve breastfeeding rates among low-income women. However, technology-based resources were the most preferred breastfeeding resource after hospital discharge, indicating ongoing development of technology-based interventions has potential to increase breastfeeding in this high-needs population. [résumé de l'auteur] |
Note de contenu : |
Introduction : les femmes à faible revenu sont moins susceptibles dallaiter que les femmes à revenu élevé. Les interventions axées sur la technologie sont prometteuses afin de réduire les disparités en matière de santé. Nous avons évalué si lutilisation accrue dapplications dallaitement maternel pour smartphones (applis) avait une incidence sur les taux dallaitement chez les femmes à faible revenu.
Méthodes : il sagissait dune analyse secondaire dun essai randomisé contrôlé (ERC), incluant des femmes nullipares à faible revenu. Les femmes ont été randomisées pour lune des deux nouvelles applications suivantes : application contrôle contenant des documents numériques sur lallaitement maternel et application Breastfeeding Friend (BFF), application interactive avec du contenu éducatif et vidéo à la demande sur lallaitement maternel. Le recours à lapplication a été rigoureusement suivi. Les quartiles les plus élevés associés à lappli BFF et aux utilisatrices de lappli contrôle ont été combinés et comparés au quartile le plus bas associé aux utilisateurs dapplis. Le principal résultat était linitiation de lallaitement maternel. Les résultats secondaires comprenaient les résultats liés à lallaitement maternel et les préférences en matière de ressources pendant sur une période de six mois. Résultats : dans lERC, la médiane relative à lutilisation de lappli BFF et des applis contrôle étaient de 15 (écart interquartile [EI] 4-24) et de neuf (EI 5-19) (p = 0,1), respectivement. Linitiation de lallaitement ne différait pas selon lutilisation de lapplication (84,1 % dans le quartile le plus élevé par rapport à 78,2 % dans le quartile le plus bas ; p = 0,5). Les taux dallaitement maternel continu et exclusif pendant six mois étaient similaires entre les groupes. Parmi les deux groupes, les applications pour smartphones constituaient la ressource dallaitement préférée à six semaines. Les utilisatrices dapplis du quartile inférieur préféraient également dautres ressources en ligne sur lallaitement : > 50 % de toutes les utilisatrices préféraient les ressources dallaitement basées sur la technologie. Conclusions : lutilisation accrue des applications dallaitement maternel na pas amélioré les taux dallaitement chez les femmes à faible revenu. Cependant, les ressources technologiques constituaient la ressource dallaitement préférée après la sortie de lhôpital, ce qui indique que le développement continu dinterventions axées sur la technologie a le potentiel daccroître les taux dallaitement maternel au sein de cette population aux besoins élevés. [traduction] |