Titre : | Anticoagulants and Breastfeeding (2017) |
Auteurs : | Philip O. Anderson, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Breastfeeding Medicine (Vol. 12, n°2, Mars 2017) |
Article en page(s) : | pp. 7778 |
Note générale : | Anticoagulants et allaitement maternel [titre traduit] |
Langues: | Anglais |
Catégories : | Anticoagulant ; Transmission par le biais du lait maternel ; Vitamine K |
Mots-clés: | phénindione ; indanedione ; vitamine K ; acénocoumarol ; phenprocoumone ; coumariniques ; warfarine |
Résumé : |
Occasionally an adverse drug reaction in a nursing infant is reported and becomes an urban legend that expands beyond reasonable limits. Such was the case of severe postoperative bleeding in a 4-week-old infant whose mother was taking the oral vitamin K antagonist, phenindione. This was reported in 1970, but led to many years of admonitions that infants could not breastfeed if their mothers were taking an oral anticoagulant, including warfarin. Phenindione is a member of the obsolete indanedione class of anticoagulants and warfarin is a coumarin. Even though both are vitamin K antagonists, they have very different physicochemical properties. Maternal warfarin has since been shown to not affect breastfed infants, even in a mother who inadvertently took five times the prescribed dose (25 mg/day) for a week!1 Other coumarin anticoagulants used outside the United States, such as acenocoumarol and phenprocoumon, have also been demonstrated to be safe during breastfeeding. This is a result of the extensive binding of coumarin anticoagulants to maternal plasma proteins, which greatly limits their passage into breast milk.
The numerous new anticoagulants that have become available make it an opportune time to review the safety of other classes of anticoagulants during breastfeeding. Additional literature references can be found in the corresponding LactMed records. [extrait de l'article] |
Note de contenu : |
Un effet indésirable lié à médicament est parfois rapporté chez un nourrisson allaité, et devient une « légende urbaine » qui sétend au-delà des limites raisonnables, à limage du saignement post opératoire sévère chez un nourrisson de âgés de quatre semaines dont la mère prenait de la phénindione, antagoniste oral de la vitamine K. Cela a été signalé en 1970, mais a conduit à de nombreuses années dadmonestations selon lesquelles les nourrissons ne pouvaient pas être allaités si leur mère prenait un anticoagulant oral, y compris la warfarine. La phénindione fait partie des dérivés de lindanedione (obsolète), et la warfarine fait partie de la famille des coumarines. Même si les deux sont des antagonistes de la vitamine K, ils possèdent des propriétés physico-chimiques très différentes. Depuis, il a été prouvé que la warfarine maternelle naffectait pas le nourrisson allaité, même chez une mère ayant pris par inadvertance cinq fois la dose prescrite (25 mg/jour), et ce, pendant une semaine ! Linnocuité dautres coumariniques utilisés en dehors des États-Unis, tels que l'acénocoumarol et le phenprocoumone, a également été prouvée pendant lallaitement maternel. Ceci est le résultat de la liaison étendue des coumariniques aux protéines plasmatiques maternelles, ce qui limite considérablement leur passage par le biais du lait maternel.
Lapparition de nombreux anticoagulants disponibles sur le marché représente un moment opportun afin dexaminer linnocuité dautres classes danticoagulants pendant lallaitement maternel. Dautres références bibliographiques se trouvent dans les dossiers LactMed correspondants. [traduction] |