Titre :
|
The Right to Mothers Milk: A Call for Social Justice That Encourages Breastfeeding for Women Receiving Medication-Assisted Treatment for Opioid Use Disorder (2018)
|
Auteurs :
|
Kelly S. McGlothen, Auteur ;
Lisa M. Cleveland, Auteur
|
Type de document :
|
Article : texte imprimé
|
Dans :
|
Journal of Human Lactation (Vol. 34, n°4, Novembre 2018)
|
Article en page(s) :
|
pp. 799803
|
Note générale :
|
Le droit au lait maternel : appel à la justice sociale dans le but d'encourager la pratique de l'allaitement maternel chez les femmes sous traitement assisté par médicaments dans le cadre d'un trouble de consommation d'opioïdes [titre traduit]
|
Langues:
|
Anglais
|
Catégories :
|
Démarrage de l'allaitement
;
Etats-Unis
;
Maintien de l'allaitement
;
Opioïde
;
Transmission par le biais du lait maternel
|
Mots-clés:
|
trouble de consommation d'opioïdes
|
Résumé :
|
Inequitable access to mothers milk represents a social injustice with the potential to negatively impact the health and well-being of future generations (Jones, Power, Queenan, & Schulkin, 2015). Mothers milk is globally accepted as the optimal source of infant nutrition, yet breastfeeding initiation and duration rates among minority populations (e.g., women with opioid use disorders [OUDs]) continue to lag those of the general population (Demirci, Bogen, & Klionsky, 2015). For example, 56% of women receiving medication-assisted treatment (MAT) for an OUD initiate breastfeeding (Schiff et al., 2018) compared to the national initiation rate of 82% (Centers for Disease Control and Prevention [CDC], 2017). Further, only 50% of mothers receiving MAT for an OUD who initiate breastfeeding continue beyond the first week of life (Demirci et al., 2015; Wachman, Byun, & Phillip, 2010). These numbers reflect some of the lowest breastfeeding rates in the United States (Demirci et al., 2015). [extrait de l'article]
|
Note de contenu :
|
Laccès inéquitable au lait maternel représente une injustice sociale susceptible davoir un impact négatif sur la santé et le bien-être des générations futures (Jones, Power, Queenan et Schulkin, 2015). Le lait maternel est reconnu à léchelle mondiale comme étant la source de nutrition infantile optimale, mais les taux dinitiation et de durée de lallaitement maternel parmi les populations minoritaires (p. ex. les femmes atteintes trouble de consommation d'opioïdes) restent inférieurs à ceux de la population générale (Demirci, Bogen et Klionsky, 2015). À titre dexemple, 56 % des femmes sous traitement assisté par médicaments (TAM) dans le cadre dun trouble de consommation dopioïdes initient lallaitement maternel (Schiff et coll., 2018), comparativement aux taux dinitiation à léchelle nationale, qui sélèvent à 82 % (Centers for Disease Control and Prevention [CDC], 2017). De plus, seulement 50 % des mères sous TAM dans le cadre dun trouble de consommation dopioïdes et qui initient lallaitement maternel le maintiennent au-delà de la première semaine de vie (Demirci et coll., 2015; Wachman, Byun et Phillip, 2010). Ces chiffres reflètent certains des plus faibles taux dallaitement maternel aux États-Unis (Demirci et coll., 2015). [extrait de larticle]
|