Titre :
|
Probiotic Intervention Through the Pregnant and Breastfeeding Mother to Reduce Disease Risk in the Child (2018)
|
Auteurs :
|
Samuli Rautava, Auteur
|
Type de document :
|
Article : texte imprimé
|
Dans :
|
Breastfeeding Medicine (Vol. 13 n°S1, Avril 2018)
|
Article en page(s) :
|
S-14S-15
|
Note générale :
|
Intervention probiotique à travers la mère enceinte et allaitante afin de réduire le risque de maladie de l'enfant [titre traduit]
|
Langues:
|
Anglais
|
Catégories :
|
Accouchement par voie basse
;
Asthme
;
Césarienne
;
Flore intestinale
;
Infection bactérienne
;
Intestin
;
Maladie chronique
;
Microbiote
;
Oligosaccharide
;
Pathologie infectieuse
;
Pathologie Intestin
|
Mots-clés:
|
probiotiques
;
prébiotiques
;
maladies inflammatoires chroniques de lintestin
;
ensemencement vaginal
|
Résumé :
|
The incidence of infectious diseases has declined drastically since the 1950s, yet the incidence of chronic, noncommunicable diseases has been steadily increasing.1 Increased risk of noncommunicable diseases is associated with disturbances in microbial contact and gut microbiota composition during infancy.25 The mode of delivery (i.e., vaginal birth or cesarean delivery) can greatly impact the initial microbiota in newborns.6 Cesarean deliveries are associated with reduced gut microbiota diversity and increased risk of many chronic immune disorders (e.g., asthma, inflammatory bowel diseases) later in life.79 Breastfeeding is also an important modulator of the gut microbiome and is associated with reduced risk of disease. Human milk contains factors (e.g., human milk oligosaccharides) that promote the growth of beneficial bacteria and may also be a source of bacteria for the developing gut.10 The microbial composition of breast milk has been shown to vary with the mode of delivery and can change over the course of lactation.11 Thus, modulation of early microbial contact through avoidance of unnecessary cesarean sections, promotion of breastfeeding, and prudent use of antibiotics may improve health outcomes. Other interventions, such as vaginal seeding after cesarean delivery and the use of prebiotics and probiotics, have also been investigated as a means to influence early microbial contact and to reduce disease risk. [extrait de l'article]
|
Note de contenu :
|
Lincidence des maladies infectieuses a considérablement diminué depuis les années 1950, mais lincidence des maladies chroniques non transmissibles na cessé daugmenter. Un risque accru de maladies non transmissibles est associé à des perturbations du contact microbien et de la composition du microbiote intestinal pendant la petite enfance. Le type daccouchement (c.-à-d. par voie vaginale ou par césarienne) peut avoir une grande incidence sur le microbiote initial des nouveau-nés. Les accouchements par césarienne sont associés à une réduction de la diversité du microbiote intestinal et à un risque accru de nombreux troubles immunitaires chroniques (p. ex. asthme, maladies inflammatoires chroniques de lintestin) au cours de la vie. Lallaitement maternel est également un élément important capable de moduler le microbiome intestinal, et est associé à un risque réduit de maladie. Le lait maternel contient des facteurs (p. ex. oligosaccharides) qui favorisent la croissance de bactéries bénéfiques et qui peuvent également être une source riche en bactéries pour le développement de lintestin. Il a été démontré que la composition microbienne du lait maternel varie selon le type daccouchement et quil peut changer au cours de lallaitement. Ainsi, la modulation du contact microbien précoce en évitant de recourir à des césariennes inutiles, en promulguant lallaitement maternel et en utilisant avec prudence les antibiotiques peuvent améliorer les résultats liés à la santé. Dautres interventions, telles que lensemencement vaginal après un accouchement par césarienne et le recours aux prébiotiques et aux probiotiques, ont également été étudiées dans le but dinfluencer le contact microbien précoce et de réduire le risque de maladie. [traduction]
|