Titre :
|
Feeding Babies and Bugs (2019)
|
Auteurs :
|
Kjersti Aagaard, Auteur
|
Type de document :
|
Article : texte imprimé
|
Dans :
|
Breastfeeding Medicine (Vol. 14, n°S1, Avril 2019)
|
Article en page(s) :
|
pp. S-7S-8
|
Note générale :
|
Nourrir les nourrissons et les microbes [titre traduit]
|
Langues:
|
Anglais
|
Catégories :
|
Bactérie
;
Cordon ombilical
;
liquide amniotique
;
Microbes
;
Microbiome
;
Microbiote
;
Placenta
|
Mots-clés:
|
environnement in utero
;
génomique
;
épigénomique
|
Résumé :
|
Although genomic variation and epigenomics contribute to metabolic programming, the in utero environment, particularly the perinatal and early metagenomes, can shape our metabolic programming in diverse, resilient, and rather creative ways. Accumulating evidence suggests that the in utero environment is not sterile; several groups have reported evidence of bacteria in the placenta, amniotic fluid, cord blood, and meconium.14 One study also demonstrated that neonates harbor microbial communities that have been shown to be relatively homogenous at delivery, with the exception of the meconium, which contains microbes also detected in the placenta and amniotic fluid (Fig. 1).5 By 6 weeks of age, the infant microbiota structure and function expand and differentiate by body site, similar to the maternal microbiota. The neonatal microbiota structure also varies by mode of delivery in some body sites (oral cavity, nares, and skin), but there are no differences in microbiota structure or function at 6 weeks, suggesting that there is no persistent impact of cesarean delivery on the infant microbiota.5 [extrait de l'article]
|
Note de contenu :
|
Bien que la variation génomique et lépigénomique contribuent à la programmation métabolique, lenvironnement in utero, en particulier les métagénomes périnatals et précoces, peut façonner notre programmation métabolique de manière diverse, résistante et parfois inattendue. Les données rassemblées jusquici suggèrent que lenvironnement in utero nest pas stérile : plusieurs groupes de recherche ont rapporté la présence de bactéries dans le placenta, le liquide amniotique, le sang de cordon et le méconium. Une étude a également démontré que des communautés microbiennes sont présentes chez les nouveau-nés, relativement homogènes à laccouchement, à lexception du méconium, qui contient des microbes également détectés dans le placenta et le liquide amniotique (fig. 1). À lâge de 6 semaines, la structure et la fonction du microbiote du nourrisson se diversifient et se différencient selon la région du corps, de la même manière que le microbiote maternel. La structure du microbiote du nouveau-né varie également selon le type daccouchement dans certaines régions du corps (cavité buccale, narines et peau), mais il nexiste aucune différence en termes de structure ou de fonction du microbiote à 6 semaines, ce qui suggère que laccouchement par césarienne na pas dimpact continu sur le microbiote infantile. [traduction]
|