Titre : | Dysphoric Milk Ejection Reflex: A Case Series (2018) |
Auteurs : | Tamara L. Ureno, Auteur ; Toni L. Buchheit, Auteur ; Susan G. Hopkinson, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Breastfeeding Medicine (Vol 13, n°1, Janvier - Février 2018) |
Article en page(s) : | pp. 8588 |
Note générale : | Réflexe d'éjection dysphorique : une série de cas [titre traduit] |
Langues: | Anglais |
Catégories : | Etat pathologique, signe et symptôme ; RED Reflexe d'éjection Dysphorique ; Symptomatologie |
Résumé : |
Background: Dysphoric milk ejection reflex (D-MER) is characterized by an abrupt dysphoria, or undesirable feeling that occurs with the MER and continues for no more than a few minutes. After milk ejection, the dysphoria vanishes.
Case Series: This case series provides a report of three women who have experienced D-MER. All three women described the sudden onset of negative feelings at the initiation of each breastfeeding session. The dysphoria vanished after each milk ejection. Discussion: Literature on D-MER is limited to one published qualitative research study and two published case reports. As a result, lactation professionals and other providers in the healthcare setting rarely recognize this condition. Conclusions: The case studies presented here provide evidence for the presence of D-MER. Research is needed to better understand its pathophysiology, incidence, and treatment options. [résumé de l'auteur] |
Note de contenu : |
Introduction : le réflexe d'éjection dysphorique (RED) du lait se caractérise par une dysphorie soudaine ou par une sensation désagréable au moment de léjection du lait, sensation qui ne durent pas plus de quelques minutes. Après léjection du lait, la dysphorie disparaît.
Série de cas : cette série de cas fournit un rapport de trois femmes présentant un RED. Chacune a décrit lapparition soudaine démotions négatives au début de chaque séance dallaitement. Le dysphorie a disparu après chaque éjection de lait. Discussion : la littérature sur le RED se limite à une étude de recherche qualitative et à deux rapports de cas publiés. Par conséquent, les professionnels de lallaitement et les autres professionnels de santé reconnaissent rarement cette pathologie. Conclusions : les études de cas présentées ici apportent des preuves de lexistence du RED. Les travaux de recherche sont nécessaires afin de mieux comprendre sa pathophysiologie, son incidence et les options de traitement. [résumé de lauteur] |