Titre : | Breast Is Best, But According to Childcare Administrators, Not Best for the Childcare Environment (2021) |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Breastfeeding Medicine (Vol. 16, n°1, Janvier 2021) |
Article en page(s) : | pp. 2128 |
Note générale : | Campagne "Breast is Best", oui mais Selon des responsables de crèches, ce n'est pas l'idéal au sein d'une crèche [titre traduit] |
Langues: | Anglais |
Catégories : | Amérique ; Amérique du Nord ; Attitude vis à vis de l'allaitement ; Conservation du lait ; Crèche ; Etats-Unis ; Mode garde ; Soutien allaitement |
Résumé : |
Background: Nearly 74% of U.S. mothers work full-time and employment is a cited reason for stopping breastfeeding. In the effort to increase breastfeeding duration, childcare providers could facilitate continuation of human milk feeding when mothers return to work. Yet, mothers report receiving little support when transitioning infants into childcare.
Objective: Explore the themes of comfort with human milk and formula feeding among childcare administrators near Tampa, Florida. Material and Methods: Twenty-eight childcare administrators participated in semistructured interviews regarding policies and perceptions about infant feeding practices at their center. Using Applied Thematic Analysis, interview themes were identified. Results: Most administrators agreed breastfeeding is best. However, they expressed discomfort with mothers breastfeeding at the center and perceived risk with handling and feeding human milk. These perceptions are illustrated through the theme Formula feeding is normative and four emergent subthemes: Human milk is potentially harmful, People are uncomfortable with breastfeeding in public, I'm not the expert, and Breastfeeding is best, in theory. Conclusion: While breastfeeding may be best for health, from the childcare administrators' perspectives, it may not be best for the childcare environment. A cultural shift may be needed to change norms and perceptions in the childcare environment to support mothers in their effort to provide human milk. Perhaps it is time for a new message, such as We can help you. [résumé de l'auteur] |
Note de contenu : |
Introduction : près de 74 % des mères américaines ont un emploi à temps plein et le travail est une raison invoquée dans linterruption de lallaitement maternel. Dans le but daugmenter la durée de lallaitement maternel, les crèches pourraient faciliter la poursuite de lalimentation au lait maternel lorsque les mères retournent au travail. Pourtant, les mères déclarent avoir été peu accompagnées lors de la transition des nourrissons de la maison à la crèche.
Objectif de la recherche : explorer les notions de confort à lidée de recourir au lait maternel et à une préparation commerciale pour nourrisson (PCN) auprès des responsables des crèches près de Tampa, en Floride. Méthodes : 28 responsables de crèches ont participé à des entretiens semi-structurées traitant des politiques et des conceptions à légard des pratiques dalimentation des nourrissons au sein de leur crèche. Des thèmes dentretiens ont été identifiés à laide dune analyse thématique. Résultats : la plupart des responsables a convenu que « lallaitement maternel, cest le top ». Cependant, ils ont exprimé un certain malaise vis-à-vis des mères allaitant à la crèche et ont identifié un risque lié à la manipulation du lait maternel et à lalimentation au lait maternel. Ces perceptions sont illustrées par le thème « lalimentation avec une PCN est normative » et quatre sous-thèmes émergents : « le lait maternel est potentiellement nocif », « les gens sont mal à laise vis-à-vis de lallaitement maternel en public », « je ne suis pas expert en la matière » et « lallaitement maternel, cest le top, en théorie. » Conclusions : bien que lallaitement maternel soit la meilleure option pour la santé, ce ne serait pas la meilleure option dans les crèches, selon leurs responsables. Un changement culturel peut être nécessaire pour changer les normes et les perceptions dans le milieu des crèches afin daccompagner les mères dans leurs efforts dallaitement. Il est peut-être temps denvoyer un nouveau message, comme « nous pouvons vous aider ». [traduction] |
En ligne : | https://www.liebertpub.com/doi/10.1089/bfm.2020.0078 |