Titre : | What If Breastfeeding Were the Norm? (2021) |
Auteurs : | Alison M. Stuebe, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Breastfeeding Medicine (Vol. 16, n°3, Mars 2021) |
Article en page(s) : | p. 272 |
Note générale : | Allaitement maternel : la nouvelle norme ? [titre traduit] |
Langues: | Anglais |
Catégories : | Connaissance et enseignement sur l'allaitement ; Culture ; Facteur socioculturel ; Pédagogie ; Pratique de l'allaitement ; Promotion de l'allaitement ; Sociologie ; Soutien allaitement |
Résumé : |
In December, journalist Stephanie Murray published an essay entitled, No one talks about how difficult breastfeeding is. That's hurting all moms.1 She describes her early weeks of breastfeeding with clogged ducts and bleeding nipples, and she talks about her struggles to navigate milk expression within a busy graduate school schedule that offered neither time nor space for pump. Why, she asks, do women only learn about how hard breastfeeding is when we have to do it ourselves?
The essay offers important potential solutions, such as education starting in elementary school to normalize breastfeeding and prepare families for the realities of caring for a newborn. Such realistic expectations are necessary, but not sufficient, to enable parents to meet their infant feeding goals. As Blythe Thomas of 1,000 days notes in Murray's essay, If our communities are designed in a way that breastfeeding is the norm, we would remove a major hurdle. [extrait de l'article] |
Note de contenu : |
« En décembre, la journaliste Stephanie Murray a publié un essai intitulé « Personne ne parle de la difficulté de lallaitement maternel, ce qui fait souffrir toutes les mamans. » Elle y décrit ses premières semaines dallaitement, ponctuées dépisodes de canaux lactifères bouchés et de saignements des mamelons. Elle évoque ses difficultés pour exprimer son lait, en raison dun emploi du temps décole supérieure chargé qui noffrait ni le temps nécessaire ni lespace adéquat pour tirer son lait. Pourquoi nous, les femmes, apprenons-nous seulement la difficulté dallaiter lorsque nous devons le faire nous-mêmes, demande-t-elle ?
Cet essai apporte des solutions potentiellement importantes, telles quune éducation, dès lécole primaire, visant à normaliser lallaitement et à préparer les familles aux réalités de la venue dun nouveau-né. Ces attentes, bien que réalistes, sont nécessaires, mais insuffisantes afin que les parents répondent aux besoins alimentaires de leur enfant. Comme le note Blythe Thomas, Initial Director (Directrice de linitiative) du concept des 1000 premiers jours, dans lessai de Murray : « Si nos communautés étaient conçues de façon à ce que lallaitement maternel soit la norme, nous éliminerions une difficulté majeure. » [traduction] |