Titre :
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Is Breast Milk Sharing Here to Stay? (2020)
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Auteurs :
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Arthur I. Eidelman, Auteur
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Breastfeeding Medicine (Vol. 15, n°5, Mai 2020)
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Article en page(s) :
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pp. 283
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Note générale :
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Le partage de lait informel va-t-il persister ? [titre traduit]
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Langues:
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Anglais
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Catégories :
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Culture
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Don de lait
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Lactarium
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Moeurs
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Religion
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Tabou
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Tradition
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Transmission générationnelle
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Mots-clés:
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partage de lait informel
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juifs ultra orthodoxes
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haredim
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parenté par le lait
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Résumé :
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This month's issue of Breastfeeding Medicine highlights the reality that classical medical and scientific factors are not the only variables responsible for the increase in of peer to peer milk sharing. Bressler and colleagues describe in detail the practices of the Jewish Ultra-Orthodox-Haredi population that provides milk sharing practices for high-risk infants. What motivated this population is their concern as to what is the source of the milk based on a combination of mistrust of the medical establishment, a strong reliance on social connectedness and importance of sacred cultural traditions particularly as to food taboos. The dynamics in this population has a degree of similarity with the reluctance of the traditional Muslim community5 to utilize the availability of donor milk from established milk banks because of their concern of the Islamic principle of milk kinship that is determined by the source of the milk. Clearly a targeted peer to peer milk sharing based on the selection of the donor who is already part of the existing kinship legitimates the use of peer donor milk. These two faith-based communities highlight the need to be sensitive to the cultural dimensions of our society and how it impacts on family's medical decision-making. [extrait de l'article]
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Note de contenu :
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Ce numéro de Breastfeeding Medicine souligne le fait que les facteurs médicaux et scientifiques classiques ne sont pas les seules variables responsables de laugmentation du partage de lait informel entre mère. Bressler et al. décrivent en détail les pratiques de la communauté Haredim (juifs ultra-orthodoxes) qui recourent à ces pratiques pour les nourrissons à haut risque. Ce qui a motivé cette population, cest de savoir doù provient le lait, basé sur une méfiance à légard du milieu médical, sur une forte interdépendance sociale et sur limportance des traditions culturelles sacrées, en particulier en ce qui concerne les tabous alimentaires. La dynamique de cette population présente un certain degré de similitude avec la réticence de la communauté musulmane traditionnelle à recourir au lait de donneuse provenant de lactariums en raison de leur préoccupation à légard du principe musulman de la « parenté par le lait », déterminée par la source du lait. Il est clair quun partage de lait informel entre mères basé sur le choix de la donneuse, faisant déjà partie de la parenté existante, légitime le recours au partage de lait informel. Ces deux communautés confessionnels nous rappellent la nécessité dêtre sensibles aux dimensions culturelles de notre société, et de limpact sur la prise de décision médicale de la famille. [traduction]
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