Note de contenu :
|
"Les troubles psychologiques chez les mères, y compris les troubles alimentaires, peuvent avoir un impact négatif significatif sur le développement de lenfant. Des études ont constaté que les femmes qui souffrent de troubles alimentaires accouchent plus souvent denfants de petit poids ou de poids élevé de naissance pour leur âge gestationnel que les femmes qui nen souffrent pas, et que leurs enfants ont un risque plus élevé de troubles alimentaires en début de vie et par la suite. Nourrir correctement lenfant est lune des tâches fondamentales des parents. Les repas sont un moment de communication entre la mère et son enfant, et les mères qui souffrent de troubles alimentaires pourront avoir un comportement particulier vis-à-vis de lalimentation de leur enfant, y compris lallaite- ment, susceptible dinfluencer à long terme le comportement de lenfant vis-à-vis de lalimentation. Les études sur le taux et la durée de lallaitement chez ces mères donnent des résultats contradictoires, et les données sur les pratiques dallaitement chez ces mères sont très succinctes. Le but de cette étude an- glaise était dévaluer les pratiques dallaite- ment à 8 semaines et 6 mois post-partum chez des mères qui souffrent soit de troubles alimentaires actuels (TAA), soit qui en ont souffert dans le passé (TAP), ainsi que limpact sur le comportement alimentaire de lenfant à 1 et 2 ans."[Extrait de l'article]
|